Blanche-Neige
L’artiste, influencée par le Bauhaus et les mouvements artistiques américains du début des années 60, refuse le qualificatif d’illustrateur. Elle a pour projet artistique de dire le conte au moyen de codes visuels, ce qu’elle appelle une « imagerie ». ou encore « un langage imagé » international qui est à la fois « écriture » et « illustration ». L’objet-livre produit à partir de lithographies se présente comme un leporello, soit une longue bande de 4m 50 pliée en accordéon, entre deux couvertures cartonnées. Le scénario du conte est découpé en scènes.